Chroniques lunaires, tome 3.5 : Levana de Marissa Meyer

RESUME :
On va découvrir le passé de Levana, comment est-elle devenue cette femme impitoyable, qui se cache sous son magnétisme, prête à contraindre la terre avec des méthodes ignobles ?

INTRIGUE : 6/10
PERSONNAGES : 6/10
SCENES CHOQUANTES : 4/10

AVIS :


J’ai mis un peu de temps à lire ce hors série, car je n’avais pas envie de lire que Levana a une enfance qui explique ce qu’elle est devenue, qu’elle était gentille à l’origine et n’est pas responsable de ses agissements contre Cinder. Je ne voulais pas des explications pour justifier ses actes.

Quand on découvre une antagoniste si cruelle, je ne peut accepter un livre qui réduit la responsabilité de ses actes.

Comme pour le reste de la saga, j’avais peur d’être déçue, et absolument pas. Certes, c’est un peu en deçà des 4 tomes principaux

On explique ses motivations et son histoire, mais elle reste un personnage antipathique, qui a fait des choix, parfois pour de bonnes raisons, mais le plus souvent pour des motifs uniquement égoïstes.

On comprends mieux les motivations de Levana, sans pour autant l’excuser ou minimiser ses actes futurs.

Encore une fois, j’ai beaucoup aimé. C’est une saga géniale. BRAVO à Marissa Meyer.

D’or et d’oreillers de Flore Vesco

RESUME :
Lord Handerson serait à la recherche sa future épouse, et pour cela il faut passer un test seule dans son château.

Il faudra passer une nuit dans un lit vertigineux, sur lequel on a empilé une dizaine de matelas.

Sadima, femme de chambre, décide de passer le test, et de découvrir les secrets de cette demeure.


INTRIGUE : 5/10
PERSONNAGES 5/10

AVIS :

Je suis très partagée sur cette réécriture originale de la princesse au petit pois.

Je ne conteste pas que l’autrice a une très belle plume, poétique, mélodieuse et pourtant très fluide.

Mais, je suis restée sur ma faim concernant l’histoire. J’avais entendu beaucoup de très bon avis, et je m’attendais à une intrigue incroyable.

Il y a de bonnes idées et le système de magie est intéressant, mais je pense être passée à côté de quelques choses. Il y a certainement des aspects que je n’ai pas compris, car j’ai trouvé l’histoire banale.

J’ai également eu du mal avec Sadima, que je n’arrivais pas à cerner, et le lord Handerson m’a plutôt agacé.

Je retenterai peut-être d’autres ouvrages de cette autrice, mais pour l’instant c’est une lecture mitigée.

La Ville sans Vent, tome 2 : La Fille de la Forêt d’Eleonore Devillepoix

RESUME :
Arka est partie rejoindre les amazones, Lastynax part à sa recherche et Hyperborée est laissé entre les mains de ses ennemis et du froid.

Une guerre latente se prépare entre Hyperborée, le maître des Lémures, les Amazones et les Thémuscyriens.

PERSONNAGES : 7/10
INTRIGUE : 7/10
SCENES CHOQUANTES : 5/10

Dernier tome de cette duologie de fantasy.

AVIS :

J’ai entamé avec plaisir ce second tome, car j’avais beaucoup apprécié le livre 1. Je ne sais pas pourquoi j’ai eu un peu de mal à retourner dans l’intrigue, mais cela n’a pas durée longtemps.

J’ai retrouvé avec plaisir Arka et Lastynax. Si nous avions essentiellement les points de vue d’Arka et Lastynax dans le tome 1, ici, il y a une narration par de nombreux autres personnages, dont Alcandre, que l’on apprend à découvrir et détester.

L’évolution de l’intrigue est parfois un peu lente, mais l’histoire reste bien écrite et captivante.

Les personnages, leurs réactions et leur sentiment sont bien décrits.

La situation politique et humaine des différentes sociétés est réaliste, même si elle est parfois très choquante. Elle permet non seulement d’apporter des nuances dans le comportement des différents peuples, mais également de questionner l’humain (et donc le lecteur) sur ses réactions en cas de conflit et sur les conceptions politiques.

Je trouve ces développements très intéressants pour un ouvrage plutôt ado – young adulte. Les comportements de certains protagonistes m’ont perturbé, j’avais envie de leur crier dessus tant ils avaient un comportement immonde. Mais, il est certain que personne ne peut savoir la réaction qu’il adopterait en cas de guerre ou de risque pour sa vie. Ces questions sont importantes et bien construites.

J’ai encore beaucoup apprécié de tome. Une duologie validée, et une autrice que je vais suivre.


Ivy Years, tome 1 : Notre année trouble de Sarina Bowen

RESUME :

Corey devait intégrer l’équipe de Hockey sur glace de l’Université de Harkness, mais un terrible accident détruit ses rêves. Elle est désormais en fauteuil roulant et n’arrive pas à imaginer son avenir (scolaire, sportif, professionnel, mais surtout amoureux).

Elle se contente donc d’admirer son voisin, Adam, joueur de hockey temporairement dans l’aile des personnes à mobilité réduite suite à une blessure.

Il est inaccessible et surtout, déjà en couple, mais une amitié inespérée pour ses deux âmes va se tisser et les conduire vers des sphères inexplorées.


INTRIGUE : 6/10
PERSONNAGES : 7/10
HOT : 9/10

1er tome d’une saga sur des hockeyeurs à l’université.

AVIS :

Je ne m’attendais à rien de particulier en lisant ce livre que j’ai trouvé en promos, mais quelle surprise !!!


L’intrigue de base est classique, c’est une romances au sein d’une université. La littérature regorge de ce type d’histoire, vous avez le choix des sports, des cœurs torturés, des ennemies to lovers, des relations toxiques et tous les clichés.

Mais, ce livre réinvente les clichés. Il est bien écrit (pour être plus juste, l’écriture est simple, mais très addictive, je n’ai pas pu le lâcher) et permet de découvrir des personnages modernes, intéressants. Sous couvert de cette romance classique, ce tome permet d’aborder des thèmes essentiels, en premier lieu le handicape, que j’ai rarement vu abordé.

Le handicape est décrit comme un aspect parmi tant d’autre de Corey. Il permet d’avoir un autre regard sur le handicap moteur. Ce livre aborde, sans le côté larmoyant des ouvrages sur le handicap, la reconstruction, l’acceptation de soi, mais aussi la sexualité des personnes en fauteuil.

C’est un élément à savoir de ce livre, il y a beaucoup de scène de sexe, assez cru (sans être vulgaire, ni malaisante).

Les personnages sont attachants et toute une intrigue est construite autour de la romance.

J’ai adoré ce livre et lirai sans faute la suite.

Divergente, tome 3 de Veronica Roth

RESUME :

Que se passe-t-il après le renversement des Erudits ? La paix, une nouvelle guerre, de nouvelles découvertes à entreprendre.

Evidemment, rien n’est simple pour Triss et Tobias. Ils vont découvrir que leur monde est bien plus vaste et qu’il existe des enjeux qui les dépassent.

Ils sauront pourtant trouver de nouveaux combats et s’imposer dans cette société.

INTRIGUE : 7/10
PERSONNAGES : 7/10
SCENES CHOQUANTES : 3/10

3ème et dernier tome de la saga divergente.

AVIS :

J’ai retrouvé avec joie Triss, Tobias, Christina, Uriah et les autres. L’évolution des personnages reste intéressante, mais je suis restée sur ma fin pour certains personnages secondaires survolés.

Les chapitres alternent désormais entre Triss et Tobias. Si sur le papier c’est appréciable d’avoir l’avis de Tobias, en réalité, je n’ai pas trouvé que cette modification apportait beaucoup à l’intrigue. Je trouvais intéressant de se placer du point de vue uniquement de l’héroïne, qui avait un partie pris, qui commettait des erreurs, et il était plus simple de s’identifier à elle.

Certes, cette alternance de points de vue permet de connaître des scènes où Triss est absente. L’intérêt était très limité durant la 1ère moitié du livre. Après, il y a effectivement des évolutions très spécifiques à Tobias et un développement du personnage intéressant à explorer. Pour autant, cela m’a donné l’impression que Triss était effacée et je me suis interrogée sur certaines de ces décisions, puisqu’il nous manquait une partie de l’intrigue la concernant.

J’ai surtout été gênée par des longueurs. Si j’avais trouvé que certains passages auraient pu être raccourci dans le tome 2, sans ralentir trop le rythme. Dans ce tome, je trouve qu’il y a un manque d’action pendant une grande partie du roman.

Des décisions prisent dans le dernier quart du roman me semblent incompréhensibles. Certes, j’entends bien qu’elles permettent d’arriver à la conclusion voulue par l’autrice, mais même dans ces circonstances, il y avait des décisions plus judicieuses et moins étranges.

C’est une bonne saga, que je suis ravie d’avoir découverte (même très en retard).

Divergente, tome 2 de Veronica Roth

RESUME :
Triss est rongée par la culpabilité et le chagrin.
La guerre gronde entre les factions et le pire est à craindre.
Quel camp choisira Triss ?

PERSONNAGES : 8/10
INTRIGUE : 6/10
SCENES CHOQUANTES : 3/10


2ème tome de la saga.

AVIS :

J’ai apprécié de sortir de la faction des audacieux et de découvrir d’autres personnages, d’autres histoires.

Pour autant, le livre reste toujours centré sur le personnage de Triss, qui fait parfois des choix assez discutable. Le livre est toujours du point de vue de Triss.

L’évolution des personnages est intéressante, mais je trouve que ce tome souffre de longueurs. Certains passages auraient gagné en intérêt en étant raccourci de quelques pages.

Il est abordé les thèmes du deuil, de la culpabilité et des traumas, même si ces thèmes sont très présents, ils sont évoqués de manière superficielle.

Les rebondissements et l’évolution de l’intrigue sont bien construits.

Un 2ème tome un peu en deçà du premier tome, mais il reste une bonne lecture.

Divergente, tome 1 de Veronica Roth

RESUME :

Dans cette ville, les habitants sont séparés en 5 factions : les audacieux (têtes brulés s’occupants de la sécurité de la ville), les altruistes (gérant le gouvernement), les sincères (s’occupant de la justice), les fraternels (s’occupant de l’agriculture) et les érudits (tête pensante de cette ville).

Beatrice est une altruiste, et comme tous les jeunes de 16 ans, elle doit choisir sa faction.

Mais, elle cache un secret qui pourrait changer la face du monde.

PERSONNAGES : 8/10
INTRIGUE : 7/10
HOT : 1/10
SCENES CHOQUANTES : 2/10


1er tome de la célèbre dystopie adaptée au cinéma en 2014.

AVIS :

Cette saga n’est pas récente, mais je n’avais jamais pris le temps de la lire, et pourtant j’avais beaucoup apprécié le premier film.

J’ai réparé cet oubli, et j’ai bien fait. Certes, il y a eu beaucoup de dystopies depuis divergente, mais elle reste originale et bien écrite.

J’ai apprécié l’idée de ces factions et des épreuves pour intégrer les audacieux, ainsi que la technologie, le principe des simulations (rendant réel dans l’esprit du sujet, des peurs, des tests…).

Le personnage de Béatrice, Triss, est intéressant, elle est ballottée entre sa faction d’origine (et leurs préceptes) et sa nouvelle faction. Elle est intrigante avec ses faiblesses et ses doutes.

Quatre (son instructeur chez les audacieux) est également très plaisant, et j’ai hâte d’en découvrir plus dans le prochain tome.

J’ai également apprécié les personnages secondaires et ce relationnel entre les novices. J’ai été gênée par cette banalisation du harcèlement, de la discrimination et de la violence. Même si je pense qu’il s’agit en réalité du début de la critique de cette société et surtout du régime mis en place par les audacieux. J’ai néanmoins trouvé un manque d’empathie de certains personnages (voir même de l’intégralité des audacieux) malaisant.

La romance est esquissée, sans être désagréable, je l’ai trouvé un peu rapide. Non pas dans le rapprochement des personnages qui prennent leur temps, mais dans l’attirance alors qu’ils ont finalement peu d’interactions, ou dans des circonstances très particulières.

L’évolution de Triss est le point fort de cette intrigue, sa volonté, sa force de caractère et évidemment les conséquences de sa divergence.

C’est un bon livre et je lirai rapidement le tome 2.

La carte des Confins, tome 1 de Marie Reppelin

RESUME :
Callie est une jeune fille indépendante et une voleuse hors pair. Elle veut vendre un compas marin enchanté et croise la route de Blake Jackson, le capitaine de l’Avalon persuadé que le compas lui permettra de trouver la carte des confins.

Ils vont devoir collaborer et embarquer ensemble sur l’Avalon.

PERSONNAGES : 7/10
INTRIGUE : 6/10
HOT : 1/10

Premier tome de la saga de cette jeune autrice, qui s’est fait connaître comme influenceuse littéraire.

AVIS :

L’écriture est fluide et agréable à lire.
Il s’agit d’un ennemis to lovers, qui prend son temps, ce qui est très agréable. La romance est au second plan dans ce premier tome.

J’ai eu un peu de mal sur la relation entre les deux protagonistes qui donne l’impression de se limiter au physique durant la première moitié de l’ouvrage.

L’écriture alterne entres les points de vue des protagonistes principaux, ce qui est très intéressant.

L’univers m’a bien plu, ce qui est un exploit, car en général, je ne suis pas friande des histoires de pirates. D’ailleurs, je n’ai lu ce livre (alors que j’avais entendu beaucoup de bons avis) que tardivement en le voyant dans ma médiathèque et en me disant, je tente.

En effet, j’ai lu récemment Iskari, et le 3ème tome porte, pendant une grande partie du récit, sur une intrigue avec des pirates, et j’avais trouvé cette partie un peu trop longue et alourdissant inutilement l’intrigue.



Je n’ai pas eu ce sentiment avec la carte des confins.

Les personnages sont intérresssants, et l’intrigue bien mené. J’ai trouvé qu’il y avait une amélioration au fils des pages et la fin est palpitante.

J’ai apprécié le personnage de Callie avec ses faiblesses et sa force de résilience.

Le livre n’est pas parfait, mais c’est une très bonne lecture (surtout pour un premier livre). Je lirai la suite avec plaisir.

Everlasting de Juliette Pierce

RESUME :
Dans une société dominée par la technologie et le contrôle, la natalité décroit inexorablement.
Le logiciel Soulmates est la solution, il vous promet de trouver votre âme sœur.

Ce qui était présenté comme une possibilité devient très vite la norme, puis obligatoire.

As passe le test, mais découvre qu’elle n’a aucune âme sœur.

Problème, l’absence d’âme soeur ne se limite pas à vivre sans un amour véritable, mais vous conduit au banc de la société (perte d’emploi, absence de revenu, humiliation…).

INTRIGUE : 8/10
PERSONNAGES : 8/10

« Oui, madame, je vous suis, pas de problème, de toute manière je n’ai pas vraiment le choix. Montrez-moi l’homme qui fera de moi quelqu’un de complet. Montrez-moi ce que je n’aurais jamais trouvé sans vous.
Je n’ai rien d’une princesse ni d’une femme à aimer, pourtant aujourd’hui, je vais trouver mon âme sœur »

AVIS :

Cette histoire est très bien écrite et l’intrigue est bien menée. Il y a quelques longueurs, mais cela n’a pas gêné ma lecture.

L’ouvrage développe la question de la technologie, du libre arbitre, mais aussi de la conception de l’amour. Est-ce simplement une alchimie mentale, biologique ou toute autre chose ?

Certes, la technologie est imaginaire, mais elle sonne de manière extrêmement juste, et elle interroge ainsi sur notre rapport aux nouvelles technologies, aux relations humaines, à la communication avec l’autre.

Comment être sincère, quand vos relations ne sont dictées que par des algorithmes ?

Les personnages sont bien développées, des personnages gris, naturels, humains, avec leurs doutes, leurs erreurs, leurs faiblesses et leurs qualités.

Il est difficile de décrire le livre, que j’ai trouvé original, entre la science -fiction, la dystopie et le roman policier.

Il faut rester concentré pour comprendre toutes les subtilités de l’histoire, mais c’est jouissif.

J’ai lu cette histoire il y a quelques temps, et pourtant, je me souviens des rebondissements, des personnages, de certaines scènes qui m’ont marquées.

Il faut un petit temps d’adaptation pour s’habituer à l’écriture faite d’accumulation, mais finalement elle donne à l’ouvrage des nuances et un style unique.

Il est addictif.

Simple bémol, certaines interrogations (certes secondaires) ne trouvent pas leur réponse, et la fin est un peu rapide.

Très bonne lecture.

Frankly in Love de David Yoon

RESUME :

Frank est né aux Etats-Unis de deux parents coréen. Il est partage entre la culture de ses parents et la culture américaine, seul pays qu’il ai connu.

Il s’éprend d’une camarade de classe qui est parfaite, sauf qu’elle n’est pas d’origine coréenne, ce que ces parents n’acceptent pas.
Il décide alors de monter un stratagème avec Joy, une autre fille d’origine coréenne, pour la faire passer par sa petite-amie auprès de leur famille respective.

PERSONNAGES : 7/10
INTRIGUE : 6/10

AVIS :

Ce livre permet à l’auteur d’explorer la question des rapports entre des enfants bercés par 2 cultures, celle de leur parent et celle du pays d’accueil.

La situation est complexe pour Frank qui a des parents coréens, qui ne se sont pas vraiment intégrés à la culture américaine. Certes, ils vivent et travaillent depuis de très nombreuses années aux Etats-Unis, mais leurs amis, leurs habitudes restent coréens. Le père surtout ne parle pas très bien l’anglais et à des préjugés sur les personnes qui ne sont pas coréennes. Ils ont transporté aux Etats-Unis la Corée du Sud.

Ainsi, leurs fréquentations sont quasi-exclusivement d’autres ressortissants coréens. La difficulté est qu’ils imposent à Frank d’intégrer cette culture, alors même qu’il lui manque beaucoup de codes.

La première exigence de ses parents, et la source de l’intrigue, est qu’il doit fréquenter (et épouser) une personne d’origine coréenne.

L’ouvrage est plaisant, avec beaucoup de référence à la culture coréen, ce qui est intéressant.

Mais, beaucoup de sujets sont effleurés. L’ouvrage avait énormément de potentiel, mais j’ai eu l’impression de rester sur ma faim.

Beaucoup de thèmes sont abordées (trop de thèmes), et rapidement explorés avant de passer à autre chose. On aborde évidemment la question de la famille, des relations avec d’autres cultures, de l’intégration, mais aussi l’amitié, le deuil, les relations amoureuses, les études, le racisme…

Le livres est simple, mais agréable à lire. On est constamment du point de vue de Frank, ce qui permet de comprendre ses sentiments.

En dehors de cette thématique sur l’intégration culturelle, le livre est classique. Une petite romance adolescente, sans surprise.

L’ouvrage est agréable.

Iskari, tome 3 : La tisseuse de ciel de Kristen Ciccarelli

RESUME :

Nous suivons désormais Safire, la commandante de la garde du roi qui poursuit Eris, une voleuse hors pair.

Cette poursuite va la conduire à faire la rencontre involontaire de pirates violents et sanguinaires.

PERSONNAGES : 6/10

INTRIGUES : 6/10

SCENES POUVANT CHOQUER : 2/10

3ème et dernier tome de la saga Iskari

AVIS :

Comme dans le second tome, je regrette l’absence des autres personnages, puisqu’on se concentre essentiellement sur Safire et Eris. Certes, les personnages ont des aspects intéressants avec des thèmes relatifs à la culpabilité, la vengeance, mais j’ai beaucoup moins adhéré aux personnages d’Eris.

On alterne avec les points de vue d’Eris et de Safire, ce qui permet plus de nuisances et évite les quiproquos inutiles (trop présents dans le tome 2), mais cela entraîne des longueurs, surtout dans le premier tiers du roman.

Effectivement, le premier tiers du livre est centré sur les 2 jeunes femmes à bord des navires. Les deux autres tomes donnaient ce côté grands espaces, découvertes de l’univers… J’ai eu du mal à rentrer dans l’histoire.

Passé ce premier tiers l’aventure commence véritablement et l’intrigue est beaucoup plus intéressante.

L’évolution des personnages est trop superficielle, même si j’ai apprécié le questionnement sur l’intérêt d’un peuple face à l’intérêt individuel d’une personne qu’on aime.

Il y a la représentation d’un couple homosexuelle.

Le dénouement est un peu rapide, et l’épilogue limité à Safire et Eris.

J’ai aimé cette saga, surtout grâce au tome 1 qui a été un coup de cœur. Mais pour être honnête, si le premier tome avait été celui de Safire et Eris, je n’aurais certainement pas continué la saga.

Les intrigues sont bien menées, mais je déplore que chaque tome reste centré quasi-exclusivement sur un seul couple (ce qui était beaucoup moins présents dans le tome 1). Résultat, on néglige les autres personnages. On ne sait pas ce qui les a amené à la situation où on les retrouve, l’évolution de leur relations, et surtout, l’épilogue ne les évoque même pas.

Je lirai certainement d’autres livres de cette auteur, même si j’ai trouvé cette trilogie inégale.

Elle reste très intéressante pour son univers et le développement autour des dieux. Elle permet également de mettre en lumière certains thèmes (handicap, conditions de la femme, deuil, pardon…).

Magisterium, tome 2 : Le gant de cuivre

RESUME :

Callum retourne chez son père pour les vacances, mais l’été tourne au drame lorsque son père le soupçonne de détenir des pouvoirs maléfiques et tente de le tuer.

Avec ses amis, Aaron et Tamara, il se lance dans une enquête pour retrouver le voleur d’Alkahest, un gant capable de séparer certains magiciens de leur magie.

INTRIGUE : 7/10
PERSONNAGES : 7/10

EFFRAYANT : 4/10

AVIS :

Ce tome est plus abouti, l’univers prend de l’épaisseur. L’intrigue du premier tome était déjà bien construite, et cela se poursuit dans le tome 2.

Le style continue à osciller entre le jeunesse et le Young adulte.

Les personnages restent la grande force de cette série, avec des caractères plutôt originaux. Callum est parfois très agaçant avec ses choix dénués de réflexion, mais qui correspondent à son caractère et à la réaction d’un jeune de 12-13 ans.

Des personnages secondaires commencent à se développer et des sous-intrigues se dessinent.

L’histoire n’a rien de révolutionnaire, mais le roman est très agréable.

Iskari, tome 2 : Le combat des âmes sœurs de Kristen Ciccarelli

RESUME : Après avoir suivi dans le premier tome, Asha, l’intrigue se concentre sur Dax, le frère d’Asha et nouveau roi.

Il est désormais marié à Roa, héritière de la Maison des Chants. Cette dernière s’inquiète devant le comportement de Dax, qui ne semble pas vouloir respecter ses engagements, alors que celle-ci a rempli sa part du marché, à savoir lever une armée pour renverser le régime de Firgaard.

Roa a pourtant beaucoup perdu en acceptant cette alliance et craint d’avoir fait un mauvais choix.

PERSONNAGES : 7/10

INTRIGUE : 7/10

SCENES POUVANT CHOQUER : 1/10

2ème tome de la saga Iskari.

AVIS :

Cette suite est centrée sur les personnages de Dax et Roa. J’avais beaucoup aimé les personnages de Torwin et Asha, dans le premier tome, qui sont quasiment totalement absent de ce tome.

J’apprécie davantage quand les ouvrages alternes entre les intrigues, car ici, l’histoire est racontée uniquement du point de vue de Roa, ce qui exclu des personnages/aventures découverts dans le premier tome.

Pour autant, l’histoire reste appréciable, bien que beaucoup plus prévisible et convenue que le premier tome. J’ai perdu se sentiment d’originalité et de fraicheur d’Asha.

L’ouvrage est plus tourné vers la romance, qui parfois prend le pas sur l’intrigue, ce qui est regrettable, car on se retrouve dans un schéma de romance, fait de quiproquos et malentendus absurdes. Une bonne discussion aurait permis d’éviter 90% des difficultés des personnages.

On découvre davantage la mythologie de cet univers avec des passages sur les légendes.

On sort surtout de Firgaard, permettant de découvrir d’autres peuples et cultures, ce qui est très appréciable pour renouveler l’intrigue.

Ce tome reste en deçà du tome 1, mais je lirai la fin avec le tome 3, qui j’espère permettra de retrouver le piment du tome 1.

Je note, ce qui est très appréciable, les thèmes des difficultés d’apprentissage, du regard de l’autre, des préjugés abordés de manière originale et nouvelle. Il y a également le thème du deuil et de la culpabilité (déjà développé dans le tome 1) à nouveau abordé sous un autre angle, que j’ai trouvé bien construit en mêlant la mythologie de ce monde et le sentiment de honte du survivant comme la peine de perdre un être cher (ici une sœur jumelle, donc avec la question des liens fraternels).

Iskari, tome 1 : Asha, tueuse de dragons de Kristen Ciccarelli

RESUME :

Asha est la fille du roi, mais c’est une princesse solitaire. Tueuse de dragon, elle est crainte et haïe par son peuple depuis qu’elle a provoqué la destruction d’une partie de la ville.

PERSONNAGES : 8/10

INTRIGUES : 8/10

SCENES POUVANT HEURTER : 1/10

ORIGINAL

1er Tome d’une trilogie. Premier livre publié par l’autrice canadienne, Kristen Ciccarelli.

AVIS :

L’ouvrage est bien écrit. Les personnages se découvrent aux fils des pages. Le plus est clairement l’univers construit par l’auteur.

L’intrigue se passe dans un monde oriental où les dragons ont quasiment disparus, mais restent une grande peur du peuple de Firgaard.

On découvre qu’Asha, surnommé l’Isaka (la porteuse de mort) peut parler aux dragons, qui raffolent des histoires des temps anciens. Mais, ce don (qui aurait tué tous les autres conteurs) est une malédiction pour Asha. Elle est en effet isolée et détestée de son peuple à raison de cette faculté.

Afin de se racheter, elle a donc décidé de devenir une tueuse de dragon pour exterminer la cause, selon elle, de tous les malheurs de son peuple.

Parallèlement, on découvre une cité où les daksor sont les tous puissants. Ils dominent les autres peuples, et notamment les Skar qu’ils ont réduit en esclavage.

Evidemment, Asha va faire la connaissance d’un Skar et se lier d’amitié avec lui, ce qui l’a conduira à remettre en cause ses croyances, son éducation.

Asha doit également trouver une solution pour ne pas épouser son promis, le commandant de l’armée, un homme cruel et détestable.

On découvre également la mythologie de cet univers, avec un Dieu, des pouvoirs donnés aux histoires.

Ainsi, sur finalement peu de pages, plusieurs intrigues se mêlent pour construire une histoire originale et captivante.

Asha, cette jeune fille, par moment agaçante, car trop ancré dans ses croyances et qui refuse d’envisager que son éducation ait pu se tromper sur l’organisation de la société. Elle va avoir une évolution incroyable, mais tout en douceur et donc réaliste.

On suit l’histoire de son point de vue, et ainsi, on découvre les personnages à travers sa vision, parfois tronquée, parfois exagérée. C’est un personnage fort, avec des fêlures, mais qui cherche à faire les bons choix pour protéger ses proches.

Torwin, l’esclave, pas si faible qu’il pourrait le laisser croire au premier abord. Intelligent, fin stratège avec une pointe de romantisme. J’ai beaucoup aimé ce personnage, tout en nuisance et en sensibilité.

On commence à voir d’autres personnages Dax, le frère d’Asha, futur roi, mais qui semble trop faible pour se rôle, trop influençable, trop joueur…

Safire, la cousine d’Asha, souffre douleur des soldats et fidèle amie d’Asha, qu’elle ne peut pourtant ni toucher ni regarder dans les yeux.

L’intrigue est bien menée, avec des rebondissements qui ont pu me surprendre.

La romance est présente, mais vraiment légère, elle ne domine pas l’intrigue de fantasy. J’ai apprécié le rapport entre les cicatrices d’Asha et son estime d’elle-même (souvent, les romances se limitent à « tu ne peux pas m’aimer, car j’ai un énorme défaut », qui le plus souvent est totalement imaginaire ou surjoué. Dans cette histoire, il y a tout un contexte qui explique le comportement de rejet d’Asha et son regard sur elle-même. Il est possible de le transposer dans la vie des lecteurs).

Les thèmes abordés sont intéressants : le deuil, la culpabilité, la solitude, le rejet de l’autre, l’estime de soi, les inégalités…

J’ai beaucoup aimé ce premier tome et lirai rapidement la suite.

Shades of Magic (tome 1) de Victoria E. Schab

RESUME :

L’univers est coupé en 4 mondes, le Londres gris (le notre), le Londres noir, le Londres blanc et le Londres rouge.

Kell est un messager entre les mondes, mais il se retrouve embarqué dans un complot entre les mondes pour la domination, le pouvoir et la magie.

Il rencontre dans son voyage Lila, qui va se révéler utile et ingénieuse pour réparer les mondes.

Premier tome d’une trilogie débutée en 2017 en France (2015 aux Etats-Unis) et désormais terminée (bien qu’il existe d’autres ouvrages dans le même univers). L’autrice est connue pour plusieurs ouvrages (Cassidy Black, La vie invisible d’Addie Larue ou Gallant).

AVIS :

Ce premier tome est très prometteur et je lirai sans conteste la suite.

La magie (dont les principes sont esquissés) est fondée sur des éléments, sur le sang, l’environnement, ce qui est, sans être original, bien construit et intéressant.

L’histoire est bien écrite (ou bien traduite) et les personnes deviennent attachants au fils des pages. En effet, j’ai eu un peu de mal avec le personnage de Kell au début, qui me semblait, certes un personnage principal, mais avec un manque considérable de charisme.

Lila est beaucoup plus attachante, voir émouvante par moment. Pour autant, la dynamique entre les deux personnages est bien construite et progressive.

Il s’agit du premier tome d’une saga, et ainsi, l’ouvrage est très introductif. J’ai trouvé des longueurs et lenteurs, qui ne me semblaient pas nécessaires (mais elles auront peut-être leur utilité dans la suite de la saga) pour le déroulement de l’histoire.

Ainsi, la rencontre entre les deux protagonistes arrivent très tardivement. Si une fois l’histoire mise en place et l’aventure véritablement commencée, il y a des rebondissements. J’ai eu une certaine lassitude durant la première moitié de l’ouvrage.

Il reste néanmoins agréable à lire, et j’ai beaucoup apprécié la fin. L’intrigue principale trouve sa résolution et il y a une ouverture sur de nouvelles aventures (et évidemment la poursuite d’une difficulté dessinée en filigrane tout au long de l’ouvrage).

Cette fin est tout autant une bonne fin (car l’ouvrage pourrait presque se suffire à lui même) qu’une erreur, car on n’est pas forcément happé pour lire rapidement la suite.

Les Aventures d’un apprenti gentleman de Mackenzi Lee

RESUME :


Monty rend tout le monde fou : les hommes, les femmes… mais surtout son père.

Dans l’Angleterre du 18ème siècle, Henry Montague, dit Monty, vit ou survie entre les disputes avec son père et les soirées de débauches.

Pour lui laisser une dernière chance de reprendre les affaires familiales, il l’envoi faire « le Grand Tour », un voyage dans des grandes villes Européenne. S’il lui fait honte, il sera déshérité.

Mais comme Monty aime ne rien faire comme les autres, tout dérape et le tour à la rencontre des grands bourgeois d’Europe comme faire valoir de son père, se transforme en aventure rocambolesques dans le sud de l’Europe.

Auteur américaine, qui s’est plongée dans la culture du 18ème siècle pour imaginer les aventures de ses personnages.

AVIS

Je n’ai pas eu envie de lire ce livre pendant que tout le monde en parlait, mais j’avais noté qu’il avait de très bon retour.

J’ai été déçu sur les 100 premières pages, trouvant se livre, certes bien écrit et distrayant, mais sans particularité notable.

Mais après cette partie pour installer l’intrigue et les personnages, l’histoire a pris une toute autre tournure. Ce n’était pas simplement le quotidien romancé d’un aristocrate amoureux de la vie, des bonnes choses et de son meilleur amis.

Le livre a alors abordé des sujets plus sérieux, et j’ai alors compris l’avertissement « à partir de 15 ans ». Sans que les propos de l’auteur puissent être heurtant, elle développe des problématiques relatives à l’homosexualité, l’acceptation de soi, la maladie, le poids des traditions.

Sous couvert d’une aventure sérieusement décalée et irréaliste, c’est le moyen de questionner la société du 18ème, mais plus généralement tous les lecteurs modernes, sur les préjugés et les chaînes qui nous empêchent d’avancer et de faire les meilleurs choix.

Ainsi, on découvre des personnes dont l’avenir apparait tout tracé par leur origines et leurs vécues, mais prêt à lutter pour s’extirper du carcan forgé par la société.

L’histoire est raconté du point de vue de Monty, ce qui offre des scènes drôles, tant il est parfois d’une naïveté ou d’une maladresse qui défie toute logique.

A la fin l’auteur remet certains éléments dans son contexte, ce que j’ai trouvé très intéressant.

J’ai apprécié ma lecture, même si elle n’avait rien de révolutionnaire, et recommande l’ouvrage.






TRIANGLE AMOUREUX (OU PAS) DE MARISA KANTER

Résumé

Hallie, adolescente d’environ 17 ans, a été initiée par sa grand-mère au monde de la lecture. Elle a décidé de créer un blog littéraire dont la particularité est de faire des cupcakes en lien avec l’ouvrage commenté.

Elle rencontre un certain succès et s’est lié d’amitié avec plusieurs autres adolescents sur les réseaux, qu’elle n’a jamais rencontré dans la vie réelle. L’un de ces amis est Nash qu’elle va rencontrer par hasard en arrivant dans une nouvelle ville.

Elle va décider de ne rien lui révéler, mais évidemment au fils des mois, le secret deviendra trop dur à porter, surtout, lorsque ce jeune homme lui révèlera les sentiments qu’il éprouve pour son double sur Internet, Kels, sans savoir qu’il s’agit de la même jeune fille.

Eléments de contexte (auteur, saga…)

Il s’agit du premier ouvrage de Marisa Kanter.

409 pages dans l’édition Lumen que j’ai lu.

Avis

Je n’attendais rien de particulier de cet ouvrage, me disant simplement qu’il s’agirait d’une lecture sympa et sans prise de tête. Ce fut effectivement le cas, mais bien plus, contre toute attente.

L’écriture est fluide et se lit facilement.

Mais j’ai surtout beaucoup apprécié les personnages et leur lien que j’ai trouvé bien décrit et réaliste (avec certaine limite évidemment, comme l’énorme facilitée scénariste qui veut que sur toutes les villes des Etats-Unis, elle se retrouve dans la même ville que Nash et qu’il s’assoie en face d’elle).

L’ouvrage aborde avec justesse plusieurs sujets, dont le deuil, l’amitié, l’amour, l’importance des réseaux sociaux et leur influence sur la vie réelle, l’anxiété sociale, le passage à l’âge adulte.

J’ai noté quelques fautes de frappes dans la traduction, mais qui ne compliquent pas la lecture. L’histoire prend son temps, avec plusieurs rebondissement, certes prévisibles, mais bien amenés et qui permettaient d’explorer plusieurs facettes des personnages.

Je regrette juste que la fin soit trop rapide au regard du rythme plus lent du début de l’histoire, et l’absence d’épilogue.

En lisant ce livre, je n’ai pas pu m’empêcher de faire des comparaisons avec Fangirl de Rainbow Rowell, que j’ai lu, il y a quelques mois.

C’est un livre un peu plus ancien, qui aborde des thèmes très proches, la double identité, l’anxiété (plus prégnante dans Fangirl), l’amitié (sous différente forme).

L’écriture est assez proche dans la forme. En effet, dans les deux livres on alterne entre la narration classique sur la vie de l’héroïne et des passages sur son autre vie. Pour Fangirl c’est des extraits de la fanfiction qu’elle écrit et pour Triangle amoureux, c’est des SMS, e-mail, extrait du blog…

Ce choix de présentation est très intéressant dans les deux livres, mais avec des objectifs différents. Dans Triangle amoureux, ces parenthèses permettent de mieux connaître Kels, le double virtuel de Hallie, alors que dans Fangirl, il s’agit d’une histoire parallèle qui n’a que peu de lien avec l’héroïne, Cath.

Les deux romans évoquent les réseaux sociaux et la vie virtuelle, si dans Fangirl on aborde le sujet de l’abandon maternel, dans Triangle amoureux c’est celui du deuil.

Dans les deux livres, le sujet de la relation familiale est central, avec l’évolution des liens entre deux sœurs jumelles pour Fangirl et entre frère/sœur dans Triangle amoureux.

J’ai trouvé que cette relation était bien abordée dans les deux ouvrages. 

L’amitié est l’élément central dans Triangle amoureux, alors qu’on parle plus des relations amoureuses dans Fangirl.

Et pourtant, alors qu’on pourrait croire que j’ai une appréciation identique pour les deux livres et que l’opinion encense davantage Fangirl, j’ai eu une nette préférence pour Triangle amoureux.

J’ai du mal à expliquer le motif de ce choix, sauf à ce que j’ai pu davantage m’attacher aux personnages de Triangle amoureux, alors que Cath dans Fangirl m’agaçait régulièrement.

Ce choix n’a rien de très objectif, mais simplement un ressenti personnel.

Les deux ouvrages abordent des thèmes importants avec une certaine légèreté, et je les recommande si vous aimez la romance adolescente tout en abordant des sujets de société.

Je précise aussi que la diversité est plus présente dans Triangle amoureux, peut-être parce que l’ouvrage est plus récent.

Pour les deux livres, même si j’ai aimé la fin (très prévisible dans les deux cas), ils ont le même défaut d’une fin rapide (voir même un peu précipité pour Fangirl) et l’absence d’épilogue (évidemment c’est encore très personnel, mais j’aime bien avoir quelques lignes sur le devenir des personnages).